Depuis quelques semaines, je travaille sur la consolidation de mes idées pour déterminer mes premiers pas dans mon entreprise. L’un de ces premiers pas consiste à déterminer ma cible client.
J’ai pour cela repris mon histoire professionnelle et sans l’ombre d’un doute, j’ai su que je voulais accompagner, aider, coacher les managers ou les cadres en prise de poste, entre autres. Ce sont des leaders en devenir.
J’ai eu plusieurs vies professionnelles, j’ai donc été dans cette situation de prise de poste plus d’une fois et je sais très bien à quel point cette expérience peut être à la fois enthousiasmante et stressante, voire traumatisante.
Que nous soyons formés ou pas, le démarrage d’un nouveau métier, ou la prise de poste dans un contexte différent du précédent est une étape importante. Je suis passée par cette étape 11 fois dans ma carrière. Et à chaque fois, j’ai vécu des moments de doute, de perte de confiance, de remise en question, de lassitude, de stress, de difficulté d’organisation, de gestion du temps, de regret, de perte d’énergie, de découragement… La liste pourrait encore continuer longtemps !!
Je ne dis pas qu'il n'existe pas de l'enthousiasme, de l'excitation, de l'envie. Bien au contraire !! Mais tous ces points positifs sont souvent gâchés par les doutes et les remises en question.
Vous avez le nez dans le guidon, vous savez plus ou moins ce que vous devez réaliser. Vous doutez de vous car vous manquez d’expérience, vous gaspillez une bonne partie de votre énergie à lutter contre vos bons vieux démons et vous pédalez, vous pédalez.
Vous vous épuisez lors des pentes ascendantes. Votre chef vous en rajoute des couches, car mine de rien vous avancez bien. Le porte bagage déborde ! Vous arrivez même à produire plus que ce qui est demandé.
Parfois, vous vous noyez dans une masse d’actions pour compenser le manque de confiance en vous ou le manque de légitimité. Parfois, au contraire, vous vous trouvez paralysés, comme si votre corps et votre esprit étaient incapables d’avancer correctement et efficacement. Ce sont les symptômes du syndrome de l’imposteur (voir mon article à ce sujet https://www.krysalia-coaching.fr/post/sacr%C3%A9-syndrome-de-l-imposteur ).
Vous vous dites, je continue jusqu’à ce que la descente arrive, ce sera plus facile. Et cette phase n’arrive jamais, au mieux, vous arrivez au faux plat.
Et pour réussir à pédaler fort, vous ne vous écoutez pas. Vous rester le nez dans le guidon. La fatigue est là, mais vous ne la voyez pas. Il ne faut surtout pas lui accorder trop d'importance, car elle est votre ennemie. Elle pourrait vous dire de prendre soin de vous et ce n’est vraiment pas le moment, il y a cette ascension à poursuivre. Vous redoublez d’effort car il n’est pas question de faillir. Ce n’est vraiment pas le moment. Vous vous essoufflez mais vous continuez. Vous ne réussissez pas à prendre du recul !
Et puis, votre corps vous dit « stop ». Il vous envoie un signal fort. Il vous oblige à vous questionner. Parfois trop tard…
Que pensez-vous de zapper toutes ces étapes de souffrance ?
Ça vous dirait d'arriver au même résultat avec du plaisir ?
Vous avez en vous toutes les ressources, tout le potentiel pour y arriver.
Qu’est-ce que peut vous apporter le coaching ?
Vous avez juste besoin qu’un coach vous aide à y mettre de la lumière pour qu’enfin, vous leviez la tête du guidon.
Vos peurs, vos croyances, vos valeurs insatisfaites vous freinent. Monter une pente en freinant, c’est pas très efficace, vous en conviendrez. Choisir les chemins adaptés avec énergie, avec plaisir vous permettra d’atteindre des sommets jusqu’ici invisibles.
L’image que j’utilise n’est pas exagérée, je vous assure. C’est une métaphore qui vous permet de comprendre ce qu’il se passe en vous quand vous luttez contre vous-même.
Il existe des solutions pour aller de l'avant positivement, l'une d'elle est l'accompagnement par un coaching professionnel. Il permet de dépasser cette étape avec beaucoup plus de légèreté, de sérénité et donc plus de confiance et d’efficacité. Il n’y pas besoin de souffrir pour réussir. Cette croyance nous pollue souvent l’esprit. Croire qu’il faut en baver pour mériter la réussite est simplement une conséquence de notre culture judéo-chrétienne.
En 2010, j’ai pris la direction d’un magasin, quasiment du jour au lendemain. J’avais des conditions de prise de poste vraiment difficiles. Au cours de ma formation de coaching, je n'ai pu m’empêcher de repenser à cette période. J’ai souffert pendant deux ans et j’ai même failli perdre mon job. Et j’ai pédalé, pédalé. Si j'avais été accompagnée, j’aurai été performante bien plus vite et surtout, j’aurai vécu mes débuts avec plaisir, confiance en moi et sérénité. Ce sont les trois ingrédients principaux qui m’ont le plus manqué à l'époque.
Je peux vous accompagner, vous aider à aller chercher et révéler les ressources qui sont en vous pour votre bien-être professionnel. Ce n’est pas un mythe. Etre heureux au boulot, ça existe ! Y croire est déjà en soi une belle première étape. Accepter de l’aide en est une seconde.
Wayne W. Dyer a dit : "Vous pouvez soit activer des pensées qui vont vous stresser, soit activer des pensées qui rendront le stress impossible."
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